Souvenirs d’un vendredi de printemps :
Aujourd’hui, pas question de traîner au travail, j’ai bossé comme une folle toute la semaine, alors, dés
17h, j’ai prends mes clics et mes clacs et je saute dans le tramway pour rejoindre le centre ville de Nantes où j’ai rendez-vous avec mon chéri.
« Vers 17h30 au Bouffay, ça te vas ? » m’avait-il demandé le midi au téléphone. C’était parfait pour moi et j’ai pensé : « Un petit apéro en amoureux me fera le plus
grand bien ».
Je descends à « Commerce ». Au milieu du flot des gens, je prends quelques secondes pour me regarder dans mon petit miroir de poche, je me remets du rouge à lèvre, un peu de khôl pour souligner et faire briller mes yeux déjà pétillants, et profite de la vitrine d’un magasin pour remettre mes cheveux en place. Je veux me sentir belle et femme pour le séduire tout à l’heure.
Il me reste encore quelques minutes, alors je rentre dans une parfumerie où sous le prétexte d’essayer des essences, je vaporise un peu d’exotisme et de chaleur sur mon cou. L’idée de couvrir de ce parfum la délicate dentelle de mon string qui couvre ma petit chatte d’amour me fait tout de suite mouiller. J’aimerai être prise là dans le magasin sans enlever mes dessous, vite fait bien fait, si vous voyez ce que je veux dire.
Je retrouve mes esprits en retournant dans la rue et me dirige vers la brasserie où nous avons l’habitude de nous retrouver.
Même s’il ne prend pas de sucre, je le trouve à mon arrivée, assis à une table, en train de tourner sa petite cuillère dans son café tout en lisant le journal. Il est absorbé par sa lecture et ne s’aperçoit pas tout de suite de mon arrivée ni que la moitié de son es presso vire de la tasse à la soucoupe. « Les nouvelles sont bonnes ? », lui dis-je en me penchant vers lui. Nous nous embrassons puis il me répond en repliant son journal : « Si tu tiens à le savoir ma petite beauté, le monde s’écroule, « les canaris » sont perdus pour le foot mais toi , tu arrives et c’est ma bonne nouvelle du soir. »
Je m’assieds à côté de lui, il se penche pour me donner un baiser dans le cou et s’attarde pour humer les effluves sur ma peau et mes cheveux et puis pose un œil coquin dans mon décolleté. « Que veux-tu boire ? » me demande-t-il en se redressant. « Je veux te boire toi, ton jus chaud et énergétique, mais comme il y a trop de gens ici, je vais me contenter d’un Martini citron avec des olives en tétant une cigarette ». J’ai envie de le provoquer.
Il se lève hilare – entre les pans de sa veste courte, je remarque une belle bosse sous sa ceinture – et va commander au bar (il déteste attendre les serveurs). J’en profite pour mater tranquillement son beau petit cul bombé que je distingue sous le cuir souple de son vêtement.
Lorsqu’il est revient s’asseoir, la bosse sous ses jeans a disparue. Ensemble nous nous installons pour un doux moment de calme et de détente, assis sur la banquette, à regarder le film du temps et des gens qui passent dans la rue. « Peut être pourrions nous aller au cinéma ce soir ? » « Warum nicht ». « Je pourrais mettre ma main sous ta jupe dans l’obscurité de la salle « , me chuchote-il à l’oreille. Nous n’avons jamais fais l’amour dans une salle de ciné, je mouille rien que d’y penser. « Qu’est ce que tu lisais tout à l’heure ? » « Les petites annonces immobilières, j’ai repéré quelque chose de sympa je crois. J’ai appelé le proprio, en fait je le connais. Il est prêt à me filer les clefs de la maison pour que allions la voir . » Demain c’est samedi.
Nous passons donc à midi chez Léo, un homme d’environ 35 ans, plutôt bien fait et qui regarde David d’une manière qui me dit qu’il n’est pas insensible aux charmes de mon ami.
« Vous verrez, la maison est seine, j’y laisse toujours un peu de chauffage, prenez votre temps », nous dit –il en nous tendant les clefs. « Très bien, nous avions justement prévu un petit pique nique et du café au cas ou la ballade s’éterniserait, nous le prendrons là bas » « c’est tout à fait possible, me répondit-il, à condition que vous laissiez tout clean bien sûr . Vous pouvez même faire du feu s’il y a du bois. De mon coté, je vais manger et si vous êtes encore là tout à l’heure je viendrai boire une tasse avec vous et discuter de l’affaire sur place ».
La baraque n’est pas loin et nous nous y rendons à pieds avec notre panier. La campagne au mois d’avril se teinte de bruns et de verts et s’éclaire du blanc de l’aubépine, du jaune des champs de colza et des genets dont je fais un bouquet en passant près des haies. Le petit jardin est en désordre mais nous laisse immédiatement entrevoir des possibilités d’aménagement. La maison est un gros volume tout à fait viable et qui se laisse transformer aisément au fil de notre visite.
Au milieu de la pièce principale se dresse un grand mât sculpté d’où jaillissent de ci de là de petites tiges comme des départs de branches polies par l’usage. David commence à s’emballer et à imaginer tout un tas de théories sur leurs utilités, alors, pour me moquer de lui et le camer un peu, je commence à imiter la chèvre « mhäää ». Il s’arrête et me regarde illuminé d’un large sourire : « Mais oui ma biquette, c’es un mât pour attacher les petites bestioles de ton espèce. » Voilà une idée qui m’excite tout de suite plus et je le laisse totalement faire quand il me met dos au poteau, plaçant mes mains autour d’une tige, au dessus de ma tête. Je ferme alors les yeux …
Il laisse ses doigts aller sur mon cou et mon torse, il me fait frissonner. Délicatement il retire mes mains , l’une après l’autre, pour m’ôter ma veste puis mon chemisier en les faisant glisser doucement le long de mes bras, puis les lie de nouveau au dessus de ma tête. J’ai toujours les yeux clos et je l’entends qui s’éloigne et reviens vers moi. « Elles sont très jolies ces fleurs » me dit-il. Je sens mes seins pointer vers l’avant. « Et le jaune va très bien avec ces beaux balconnets rouges ». Je m’électrise soudain en sentant le contraste des doux pétales et des tiges rugueuses contre ma peau offerte. Il me donne comme des petits coups de fouets sur mes seins avec le bouquet. Il chante : « Vicious, tu me bas avec des fleurs, tu le fais toutes les heures » et mes tétons sont dures et adorent ces petits coups qu’ils reçoivent à travers le tissus de mon soutien gorge.
Il me sent très excitée et arrête ce petit jeu. Je l’entends qui pose les fleurs par terre. « Garde les yeux clos petite biquette, le grand méchant loup va s’occuper de toi ». Il s’approche tout près et fais courir sa grande langue et son souffle sur mon cou. Pendant ce temps ses mains rejoignent la cambrure de mes reins et descendent jusqu’à mes fesses pour dégrafer ma jupe et la faire tomber à mes pieds. Il me lape maintenant la gorge, la partie dévoilée de mes seins, mon ventre, le haut de mes cuisses dénudée et suit les contours de mon string avec sa langue, à l’intérieur des cuisses et dans le pli de l’aine. Derrière, il me pétrit les fesses et délicieusement je monte, je monte au ciel.
Il s’arrête de nouveau, se redresse, me prends par la taille et me déplace légèrement sur la gauche. Les mains toujours jointes au dessus de ma tête, je suis maintenant à cheval sur une tige lisse sortant du mât sur 15 centimètres environs. J’écrase ma fente sur le bâton dur, j’inonde totalement le tissus de mon string en bougeant mon bassin d’avant en arrière.
Lui de son coté s’est éloigné vers la cheminée pour allumer une petite flambée. Alors que je jouis et pousse de petits gémissements de bonheur, le feu se met à crépiter, et les flammes à s’élever. Je l’aperçois qui se retourne et me regarde, il me mate et je vois le désir enfler dans ses yeux. Mon corps ondule et transpire le plaisir. Effectuer cette danse sexuelle devant lui m’excite d’autant plus. A bout de souffle, je le supplie de se déshabiller et de venir me rejoindre. Il s’exécute sans hâte. Je regarde jaillir sa belle bite lorsqu’il défait son pantalon et j’aime comme il se branle en s’approchant de moi, son gland violacé pointe superbement dans sa pogne et j’ai envie de le sucer, de le caresser avec ma langue, qu’il remplisse ma bouche. Le bâton entre mes cuisses est complètement lubrifié par mon sexe qui salive abondamment, déjà largement ouvert.
Il me retourne et m’oblige à me pencher. Je garde les mains de chaque coté du mât, toujours attachée à lui par un lien invisible. Ses doigts écartent mon string sur le coté de ma chatte et il enfourne sans crier gare son dard dans ma fente. J’adore cette sensation de sentir son gros membre glisser si aisément d’avant en arrière à l’intérieur de moi, puis lorsqu’il me fouille et qu’il me caresse l’intérieur avec sa tête chercheuse. Je sens que je quitte la terre, mais entre deux clignements, j’aperçois le proprio derrière la porte. Il nous regarde à travers la vitre puis entre sans bruit. « On s’amuse bien ici » dit-il en s’approchant un peu. Haletante je lui dit « Vous êtes un peu trop tôt pour le café mais juste à l’heure pour le dessert » ; David surpris, s’interrompt un instant mais je lui dit « encore, encore, continue, fais moi jouir encore ».
Léo est tout près maintenant, il me caresse la croupe tout en regardant David à son affaire. « Vous avez un très beau cul Madame, mais je les préfère plus masculin » me dit-il en regardant le membre aller et venir en moi. Je lui répond « Ca tombe bien… je suis légèrement attachée… et hummm… il y a Ahhh… là un homme Ohhh dont personne ne s’occupe ». « Elle est toujours chaude comme ça ? » ,demande le visiteur. « Souvent » lui répond David en lui passant une main sur la bosse qui apparaît clairement sous la toile de son pantalon, et il ajoute : « Vous pourriez vous … dévêtir… se serait …han…la moindre des politesse, non ? »
Léo ne se fait pas prier plus longtemps et laisse tomber un à un ses vêtements au sol. Pendant ce temps David me propose d’aller s’installer sur un vieux fauteuil devant l’âtre. Il s’y assoit, son sexe est si dur qu’il se tient dressé fièrement dans ma direction. Je retire mon string et viens m’assoire sur lui. Avec mes doigts j’écarte mes lèvres pour bien voir sa bite glisser en moi et je l’enfonce jusqu’à la garde. Je tapote mon clito qui lui aussi pointe le bout de son nez et laisse ma main sur mon pubis pour caresser nos sexes qui se mêlent. Ses doigts à lui courent sur mon ventre, dans le pli de l’aine, sur mes bras et mon soutien gorge à l’intérieur duquel deux seins n’en peuvent plus de durcir. Je plaque ses mains sur mes mamelons afin qu’il les malaxe et les soulage.
Léo, qui suivait jusqu’alors un peu à l’écart nos ébats se rapproche enfin, la bite en avant. Son sexe est long et fin et nous nous mettons tous les deux à lui donner de petits coups de langue, nous le suçons et l’aspirons chacun de notre coté avec délice. Nos lèvres et nos langues se touchent autour de cette friandise qui, maintenant humide, luit dans la lumière du feu. Je m’écarte un peu et effectue des cercles avec mon bassin autour du pieu qui me fouille et qui, je le sens, est prêt à cracher sa semence. Voir le membre de Léo disparaître dans la bouche de mon homme me rend folle d’excitation et ce qu’il fait avec sa bouche, je lui fais avec mon sexe ; il suce, il aspire, il enveloppe avec ses lèvres, il salive.
Puis nous changeons encore de position, je m’accoude au dossier du fauteuil, les genoux sur l’assise pour que David me prenne en levrette. Il me tient par la taille et s’installe au plus profond de moi. Je le serre fort et je sais qu’il va venir. Une autre main va et vient de ses couilles à mon pubis et encourage notre explosion. En tournant la tête, j’aperçois Léo à genou derrière David, en train de lui butiner la raie des fesses. Je jouis à en perdre haleine et soudain un torrent chaud inonde ma caverne, je jouis de me sentir pleine de ce jus et l’expression sur le visage de mon homme me dit qu’il est lui aussi dans un autre monde.
Alors nous reprenons notre souffle, Léo s’est relevé et se trouve juste à la bonne taille pour prendre ce cul qu’il vient de préparer à la pénétration. Il met un préservatif, crache sur son sexe pour le lubrifier un peu. A mesure qu’il s’enfonce, je sens le corps de David qui pèse de plus en plus sur moi et sa bite qui rétrécit, il, se laisse aller. Je me dégage et vient m’asseoir sur le rebord du dossier, face aux deux hommes. Le sperme de celui qui vient de me prendre s’échappe de ma chatte et coule le long de mes jambes. Du doigt, j’en intercepte un filet avant qu’il ne souille mon bas et le porte à ma bouche. Je regarde, réjouie, le membre de Léo aller et venir entre ces si belles fesses « Tu es bon » ne cesse t-il de répéter. David, lui se penche un peu plus pour offrir au mieux sa croupe et se laisse guider par les mains qui tiennent les hanches. Sa cambrure est délicieuse et de petites gouttes de sueur perlent sur sa peau.
Sa tête, elle, a plongé entre mes cuisses, il me lape la peau, me la lave, s’arrête pour reprendre son souffle, caresse mes lèvres avec le bout de sa langue qu’il plonge ensuite dans ma fente pour y boire nos deux jus mêlés comme un assoiffé.
Mon plaisir remonte encore. Léo donne maintenant de grands coups et je vois son visage se tendre et sa bouche s’ouvrir. Je plonge mes mains dans les cheveux de David et me cambre car je sens poindre un nouvel orgasme. Pratiquement au même moment, Léo et moi poussons nos bassins à fond en avant et David, comme un trait d’union électrique, nous emmène dans un plaisir merveilleux, il nous aspire et nous fait jouir longuement. Nous nous affalons sur lui et le serrons dans nos bras. « Merci », il fait bon être comme ça enlacé dans ce fauteuil près du feu.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires