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  • : artiste installé tout près de Nantes je vous propose ici des series de peintures à caractère érotique . Ces toiles sont à vendre à mon atelier ou en prenant contact avec moi via le blog. jJe propose également de réaliser une interprétation peinte de vos ébats à partir d'une photo par exemple .Je publie aussi à travers ce blog des textes de Hot Marmotte, alors bonne lecture et à bientôt
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  • : 07/12/2008
Mardi 26 mai 2 26 /05 /Mai 11:51

Depuis plusieurs mois je m’épile la chatte avec une pâte merveilleuse : non seulement, elle est facile à utiliser, moins douloureuse que la cire, mais en plus, au fur et à mesure qu’on l’utilise, la pilosité diminue. Ainsi, mon pubis est de plus en plus lisse. C’est doux, doux et quand je me caresse, je peux regarder mon clito frétiller et gonfler ainsi que mes lèvres humides parfaitement dégagées.

Habituellement mon mari s’occupe du derrière car j’aime aussi avoir la raie bien lisse et l’anus apprêté pour recevoir les caresses de sa langue ou les assauts de son pieu. Comme il est actuellement en déplacement à l’étranger, je me demandais bien comment j’allais faire pour réaliser l’opération avant de le retrouver pour les fêtes de noël à Istanbul.

Alors que j’en discutais avec lui au téléphone, lors d’une conversation plutôt chaude, il m’a suggéré de demander à une copine en laquelle j’aurais confiance. Ca me gênait un peu mais j’avais tellement envie d’être nickelle pour nos retrouvailles que j’ai dépassé mon appréhension et est appelé M. , Pas forcément ma meilleure copine mais  quelqu’un qui pouvait comprendre .

« J’ai un petit service à te demander », lui dis-je, avant de lui résumer la situation. Elle était d’accord et ça ne lui posait aucun problème. Nous convînmes d’un rendez-vous.

Je me présentais donc chez elle à l’heure H avec dans mon sac la fameuse pâte et la crème hydratante après soin. Elle m’ouvrit, habillée d’un peignoir et à peine réveillée .Elle sortait juste de sa douche et son bol de café fumait sur la table de la cuisine .Elle m’offrit un thé et je l’accompagnais ainsi pour la fin de son petit déjeuné. C’est une fille très simple et qui met tout de suite à l’aise. Nous discutions :

« Alors, quelle est ce produit merveilleux ? », me demanda-t-elle.  « Tu sais j’y ai pas mal pensé et j’ai hâte de voir comment ça se passe et quels sont les résultats. » Je lui répondis que pour ma part, je n’avais rien trouvé de mieux. Je déballais mon petit sac et lui expliquais la procédure. « Vu la surface qu’il reste à épiler tu en auras vite fait le tour ». « Le tour du trou »me dit-elle, toujours prête pour un bon mot.

Cela me détendit un peu car je n’étais malgré tout pas complètement à l’aise.

Nous allâmes  ensuite dans sa chambre, où, sur mes conseils, elle plaça une serviette sur le lit et me proposa un oreiller que je pourrais mettre sous mon bas ventre. Pendant ce temps, j’ôtais ma jupe et mon string.

Elle se pencha et regarda mon bas ventre. « Dis donc, le rendu est superbe, et ta peau est si douce », siffla-t-elle en passant le revers de sa main sur mon pubis. Elle  se releva et m’invita à prendre place. Alors que je m’allongeais les fesses en l’air, elle m’avoua, rieuse, qu’elle avait plus l’habitude de se faire écarter les fesses que le contraire.

Pourtant avec application et dextérité elle ne mit pas longtemps à chopper la technique et elle commença à dégager tout le tour de mon œillet. A vrai dire j’étais, grâce à son naturelle et sa bonne humeur, parfaitement détendue et je me laissais maintenant complètement aller. La croupe bien relevée, je me laissais faire. Elle passait à droite, s’extasiait devant l’efficacité du produit, passait à gauche, m’écartait les fesses, appliquait la pâte et tirait un coup rapide.

Elle se rapprochait doucement de mon petit trou et le contact de ses doigts, sur cette partie hautement sensible et vulnérable au plaisir de mon corps, commençait malgré moi à m’exciter. Je pus m’apercevoir que je n’étais pas la seule car tout en continuant à discuter et à blaguer, elle se plaça à califourchon sur ma cuisse et je sentis sa toison effleuré ma peau et se lèvres (visiblement elle ne portait pas de culotte) s’écraser contre. Elle mouillait et moi ça commençait à me chauffer.

Cela se confirma lorsqu’une fois le travail fini, elle se pencha sur mon cul et du bout des doigts, effleura ma raie et mon petit trou pour vérifier qu’il ne restait plus un poil. Comme par réflexe, je remontais ma croupe. « C’est parfait, me dit-elle, j’en connais un qui va être content ».

Je tournais légèrement la tête pour la remercier et lui tendis la crème hydratante .Elle me sourit en la prenant et commença à me masser la raie jusqu’à l’absorption du produit. Me sentant frémir, elle me demanda « Tu aimes ? ». Je dus lui avouer que ça me faisait beaucoup d’effet. « Par contre, ici, pas besoin d’hydratation dis-moi, tu as la chatte luisante ma chérie » Et joignant  le geste à la parole, elle fit descendre ses doigts entre mes cuisses et caressa le bord de mes lèvres. Je dégoulinais littéralement et ne pus résister à me cambrer encore plus. Passant sa main sur ma motte pour la caresser, elle me murmura : « Mm mm, tu as une belle chatte tu sais ?! »  « Et elle ronronne », lui répondis-je en me retournant légèrement. Mon clito s’affolait sous ses doigts et je gémissais en la regardant. Elle se tenait sur ses genoux, le peignoir ouvert, ses doigts se plongeant dans son sexe doré, frottant ses grandes lèvres, les écartant et s’enfonçant de nouveau. « Retourne-toi, je veux te goûter ». Je m’exécutai, hypnotisé par cette situation nouvelle pour moi.

Elle plongea sa tête entre mes cuisses toutes ouvertes, je sentais la jouissance monter sous se petits coups de langues. Après quelques instants, elle se releva et me lança les lèvres luisantes de ma mouille et de sa salive : « j’ai quelque chose pour nous…si tu es d’accord bien sûr ». A ce point je n’étais qu’impatience et envie

. Elle se dirigea vers sa commode et en revint armée d’un double gong rouge et du lubrifiant. «  Un cadeau qu’on ma fait il y a un bon moment maintenant »

Elle m’en présenta un côté et je l’avalait goulûment, le tartinant de ma salive. Pendant ce temps, elle plaça son sexe en face du miens, croisant nos jambes et plaqua sa chatte contre la mienne. Nos jus se mêlaient, nos boutons d’amour  se frottaient, c’était aussi délicieux qu’inattendu. Puis elle se recula pour enfoncer le coté du jouet couvert de ma salive dans sa moule et l’autre enduit de gel dans la mienne.

Complètement partie, je regardais l’objet se faire avaler par nos sexes affamés. Nous bougions de plus en plu et gémissions en cœur, véritablement heureuses de ce plaisir et nos mains se retrouvaient sur nos clitos, écartaient nos lèvres, poussaient l’objet au plus profond de nos vagins.

Je jouissais comme une folle et j’imaginais que mon mec était là. D’abord, je faisais un 69 avec ma copine, moi sur elle, et pendant qu’il me prenait, elle me léchais la fente, sa tige et ses couilles. Puis moi dessous elle, il la prenait en levrette, et je voyais sa bite aller et venir entre les lèvres de ma copine, jusqu’à ce qu’il se retire pour venir jouir dans ma bouche…

 

 

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Par syldavie - Publié dans : texte érotique - Communauté : AllAboutSex
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